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Santé et Hygiène Intime

Tout savoir sur les MST | Secrets De Geishaa

Tout savoir sur les MST

Entretenir une vie sexuelle exige un haut degré de responsabilité, car en parallèle de tous ses bons côtés, le sexe peut aussi nous apporter des infections plus ou moins graves. Il est donc important de s’assurer de la santé de son partenaire (et de la sienne) avant d’envisager des rapports sexuels sans préservatifs.

Le nombre d’IST (Infections Sexuellement Transmissibles) est en perpétuelle augmentation en France. Les IST sont l’ensemble des bactéries et virus transmis d’une personne à une autre lors d’un rapport sexuel. Les rapports sexuels incluent les rapports par voies génitales, anales et bucco-génitales.

 

QUELLES SONT LES PRINCIPALES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES EXISTANTES ?

 

  • LA CHLAMYDIA

Elle ne provoque pas de symptômes et peut provoquer l’infertilité. L’ensemble des pratiques sexuelles peuvent transmettre la Chlamydia : pénétration, fellation, cunnilingus, anulingus, caresses sexuelles…

 

  • LA BLENNORRAGIE

Elle provoque des écoulements du vagin ou du pénis ainsi qu’une sensation de brûlure lorsque l’on urine. L’ensemble des pratiques sexuelles peuvent transmettre la Blennorragie : pénétration, fellation, cunnilingus, anulingus, caresses sexuelles…

 

  • L’HEPATITE B

Il n’existe aucun traitement pour l’hépatite B si ce n'est le vaccin de prévention. Les symptômes sont les suivants: fièvre, nausées, douleurs musculaires et un changement de couleur de l’urine, des selles et de la peau. Cependant les symptômes ne sont pas toujours présents. L’hépatite B peut se transmettre par pénétration et pratiques bucco-génitales.

 

  • LE PAPILLOMAVIRUS

Ce virus serait une des causes à l’origine du développement du cancer du col de l’utérus. Le papillomavirus peut également développer d’autres types de cancer comme le cancer de la gorge suite à des pratiques bucco-génitales. Les symptômes provoqués sont l’apparition de verrue génitales. L’ensemble des pratiques sexuelles peuvent transmettre le papillomavirus : pénétration, fellation, cunnilingus, anulingus, caresses sexuelles…

 

  • LE SIDA

Il s’agit du nom de la maladie provoquée par le VIH (Virus de l’Immunodéficience Humaine). Ce virus s’attaque à notre système immunitaire et le fragilise de sorte à ce que celui-ci ne puisse plus agir pour protéger notre corps des bactéries et infections, alors qu’en temps normal le corps les combat naturellement. Dans le cas d'une personne atteinte du sida, il n’en est plus capable et ces bactéries peuvent alors provoquer des maladies beaucoup plus graves. Le VIH peut se transmettre par pénétration et par fellation.

 

  • LES MYCOSES & INFECTIONS URINAIRES

Contrairement aux autres infections, les mycoses et infections urinaires peuvent provenir d’un simple déséquilibre de la flore. Ce sont des infections bénignes et 3 femmes sur 4 en a au moins une au cours de sa vie. Elles peuvent apparaitre à la suite d’un rapport sexuel mais ne se transmettent pas sexuellement.

 

  • LES CONDYLOMES (VERRUES GENITALES)

Ces infections sont provoquées par le papillomavirus. Ce sont des petites verrues qui se forment au niveau génital (vulve, pénis, anus…). Les Condylomes se transmettent par contact sexuel mais peuvent aussi se transmettre par simple contact peau à peau.

 

  • LA SYPHILIS

Elle provoque dans un premier temps des petites plaies, puis par la suite des boutons sur le corps. La syphilis augmente le risque d’infection par le VIH. L’ensemble des pratiques sexuelles peuvent transmettre la syphilis : pénétration, fellation, cunnilingus, anulingus, caresses sexuelles…

 

  • L’HERPES GENITAL

Bouton sur les zones génitales / anus… Uriner devient alors douloureux, des plaies se forment en étant remplies de liquide.

 

COMMENT SE PROTEGER ?

Il est indispensable de se protéger de tous risques liés aux éventuelles Infections Sexuellement Transmissibles par le biais du préservatif, et ce, tant qu’aucun dépistage n’a été fait.

 

OU FAIRE SON DEPISTAGE ?

Il est possible de se faire dépister dans un laboratoire d’analyses médicales. Ces dépistages sont remboursés sous ordonnance (le bon réflexe à avoir avant d’entamer sa nouvelle vie sexuelle). Mais vous pouvez aussi faire votre dépistage gratuitement et en tout anonymat dans les centres gratuits (d’information, de dépistage et de diagnostic CEGIDD). Vous pouvez trouver celui qui se trouve à proximité de chez vous sur Internet. Le dépistage se fait rapidement, les résultats sont prêts en 3 à 5 jours.

 

Les associations font également des dépistages gratuitement et anonymement notamment pour le VIH de l’hépatite C. Enfin, il existe des autotests, ceux-ci sont disponibles gratuitement dans les CEGIDD et associations mais également en vente dans les pharmacies.

 

Rédigé par @Sens.u.elles  pour @Secrets_de_geishaa

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Vivre son cycle avec la symptothermie et son planner | Secrets De Geishaa

Vivre son cycle avec la symptothermie et son planner

Chez Secrets de Geishaa, nous souhaitons accompagner les femmes et les aider à mieux se connaitre et se comprendre, pour mieux vivre au quotidien leur féminité. Cela passe en premier lieu par le fait de vivre son cycle en pleine conscience.

C'est d'ailleurs pour cela que nous avons conçu notre Planner Intime Secrets de Geishaa, en nous appuyant sur la méthode de la symptothermie, qui permet d’observer son cycle et d'être en connexion totale avec son corps chaque jour.

L’observation de son corps consiste à examiner ce qui se passe en nous, les différents symptômes relatifs à l’humeur, les différents signaux tels que les différentes douleurs ou sensations particulières que l’on peut être amenée à ressentir tout au long de notre cycle.

 

Cette méthode permet :

🌸 De planifier les naissances,
🌸 C'est une méthode utilisée comme contraception,
🌸 Elle aide à la conception,
🌸 Elle permet aussi de se familiariser avec son cycle, comprendre nos humeurs, nos ressentis, se reconnecter à soi, etc.

     

    D’ailleurs, saviez-vous que les femmes qui suivent leur cycle et l’observent, décèlent plus rapidement les anomalies de santé et ainsi les traitent plus en amont ?

    De ce fait l’observation de notre corps permet énormément de choses positives au bon fonctionnement de notre corps.

    Les femmes sont plus à l’écoute de leur corps, plus à l’écoute de leurs besoins et vivent plus en harmonie avec elles-mêmes. Dans la vie courante, une majorité de personnes ne fait pas attention à ce genre de petits détails, tout simplement car nous n’y pensons pas et que le reste du quotidien nous paraît finalement plus important que d’être attentives aux signaux de notre corps. Pourtant, si le corps lâche, le quotidien ne suit plus. Et pour permettre au corps de continuer à carburer comme il le fait chaque jour, il faut lui porter toute l’attention qu’il mérite.

    Ainsi, nous ne souhaitons pas vous parler de cette méthode uniquement pour vous mettre à disposition un moyen de planifier des naissances, mais avant tout pour vous transmettre une philosophie de vie qui consiste à vous reconnecter à votre corps, à le comprendre et à en prendre soin.

     

    Et comme toutes les philosophies, soi on y adhère, soi on n’y adhère pas. Pour y adhérer il faut de la volonté, la volonté d’écouter son corps, de vivre intensément chaque signal qu’il nous envoie, de prendre conscience de chacune de nos émotions, de nos irritations et tout ce qui s’en suit.

    Cette philosophie consiste à se dire « mon corps c’est ma vie », « mon corps c’est mon bébé. » et avant tout « mon corps c’est ma maison », alors forcément c’est la chose à laquelle je pense en priorité. En partant de ce principe-là, l’envie d’en prendre soin, et avoir une pensée à chaque instant pour son corps vient d'elle même.

     

    Mais alors, comment ça marche concrètement au quotidien ?

    Nous avons mis à disposition dans notre plannerdes moyens qui vous aiderons à vous souvenir au quotidien de votre corps et de votre cycle. Chaque jour comporte un moyen de suivre son humeur et ses symptômes. Ceux-ci sont très significatifs et de votre état de santé physique et mental, mais aussi de votre période de cycle.

    Votre planner sera votre allié au quotidien pour noter tout ce qui vous semble évidant à noter, mais aussi votre allié pour organiser en parallèle votre vie de femme active. Grâce à ce planner on vous aidera à toujours avoir une pensée pour votre corps qui le mérite bien.

     

    Comment suivre mon cycle ?

    Par la température de mon corps : Tous les jours (dans la mesure du possible), je prends ma température au réveil, à heure fixe. Je peux observer dans le temps l’évolution de ma température. Lorsque j’ovule, la température de mon corps est plus haute que d’habitude.

    Par l’observation de mes glaires cervicales : Ou encore appelées pertes blanches. La texture de nos glaires varie tout au long du cycle, puisque celles-ci ont plusieurs rôles : elles nettoient le vagin, mais elles vont également aider les spermatozoïdes à faire leur chemin jusqu’à l’ovule. Les glaires les plus liquides, ou à l’aspect « blanc d’œuf » vont indiquer notre plage de fertilité, il est possible de les étirer entre deux doigts, elles ont un aspect filaire. Les glaires dites « crémeuses » de couleur blanchâtre ou jaunâtre indiquent que vous n’êtes plus en plage fertile.  

    Par le calcule : Vous apprenez au fil du temps à prévoir vos plages de fertilité, vos règles, et votre cycle en général. Pour cela vous annotez au quotidien dans quel jour de votre cycle vous vous situez. Cela vous permet un élément de plus pour vous repérer car avec le temps vous pourrez plus ou moins visualiser quels sont vos jours fertiles de cette façon.

    Vous pouvez également observer votre cycle via la position de votre col de l’utérus, mais cette méthode est en supplément des autres et n’est pas la plus simple.  

    Vous pouvez annoter tous vos symptômes, en plus de ceux que vous apprendrez à observer en autonomie dans votre planner.

     

    Vous pourrez planifier au mois vos prévisions :

    Chaque mois, un calendrier mensuel vous permet d’annoter de manière prévisionnelle : vos règles, vos jours de cycle, votre plage de fertilité, en plus de pouvoir annoter tout évènement du quotidien vous semblant important !

     

    Il est important de savoir que si vous voulez utiliser cette méthode comme moyen de contraception il faut être rigoureuse et utiliser le plus de moyens de suivi de cycle possible. Les méthodes sont interdépendantes pour être efficaces.  

     

    @sens.u.elles pour secretsdegeishaa.com

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    La Constipation et ses effets sur le périnée | Secrets De Geishaa

    La Constipation et ses effets sur le périnée

    INTRODUCTION 

    Le terme constipation est employé lorsque les selles ne progressent pas assez rapidement dans le côlon (gros intestin). On observe alors une fréquence moindre des selles ou des selles dures qui vont être responsables de la difficulté à déféquer. 


    On parle de constipation lorsqu’il y a moins de trois selles par semaine. La plupart du temps elle est dite passagère et résulte d’un ensemble de facteurs liés à notre hygiène de vie mais si cette dernière dure dans le temps, on parlera alors de constipation chronique.


    Puisque l’on parle de constipation, il est important de rappeler que lorsque vous avez du mal à aller aux toilettes, il n’est pas nécessaire de pousser de façon trop intense. Vous risquez d’engendrer d’autres problématiques comme l’apparition d’hémorroïdes par exemple et on sait toutes et tous que ce n’est ni glamour ni confortable, et cela peut à long terme affaiblir votre périnée.


    De plus, si vous observez une certaine difficulté à aller à la selle, il vaut mieux modifier vos habitudes personnelles comme votre alimentation ou votre hygiène de vie en général mais également et surtout aller consulter votre médecin pour lui faire part de vos inquiétudes. 


    PRINCIPALES CAUSES DE LA CONSTIPATION

      • Hygiène de vie : Une mauvaise alimentation qui manquera d’eau ou de fibres, un manque d’hydratation ou un manque d’exercices physiques sont des causes qui peuvent engendrer une constipation.
  • L’Anisme : L’anisme ou dyssynergie recto-sphinctérienne est définie par une absence de relaxation ou une contraction paradoxale du sphincter strié de l’anus et du muscle pubo-rectal lors de la défécation. L’anisme est responsable d’une constipation terminale, expliquée par l’obstacle fonctionnel que réalise la contraction de l’anus lors de l’exonération, entraînant des efforts de poussées intenses et répétés. (Source : fmcgastro.org)
  • Drogues : La morphine ou l’héroïne peuvent agir sur la dilatation anormale du colon favorisant ainsi la constipation  
  • Affections Neurologiques
  • Maladies de l’Intestin : La maladie de Crohn par exemple (qui est une maladie inflammatoire chronique du système digestive) ou d’autres maladies qui agissent de façon inflammatoire sur l’intestin ou sur le colon lui-même  
  • Cancer du Rectum ou du Côlon


  • EFFETS DE LA CONSTIPATION SUR LE PÉRINÉE ? 

    On entend souvent parler de fissures anales ou d’hémorroïdes mais on parle peu du périnée en ce qui concerne la constipation. Pourtant, les fuites urinaires, les dysfonctionnements érectiles ou encore les descentes d’organes (prolapsus), chez la femme ou chez l’homme, peuvent être liés à un périnée affaiblis.

    En effet, lorsqu’une constipation s’installe, les tentatives d’expulsions peuvent être plus fréquentes et plus intenses engendrant ainsi une pression presque permanente sur le périnée. Le périnée finit donc par se relâcher, entraînant des fuites urinaires, jusqu’à ne plus accomplir sa mission première qui est le soutien des muscles du petit bassin, entraînant alors une descente d’organes ou des dysfonctionnements érectiles.


    SOLUTIONS AU RELÂCHEMENT DU PÉRINÉE

    Avant de s’occuper de votre périnée, on essaiera d’éliminer la constipation car à long terme la rééducation périnéale n’aura plus les effets escomptés si la constipation est toujours présente. 


    Une fois la constipation neutralisée, on pourra penser au bien être de votre périnée.


    • Position aux Toilettes : La position la plus adaptée est le fait de s’accroupir. En effet, la position assise, dite classique, va former un angle de 90 degrés et bloquer la descente des selles. La position accroupie, permet, quant à elle, aux muscles de totalement se relaxer ce qui permet une évacuation des selles sans pression et sans douleur. Pour se faire, vous pourrez utiliser un petit marchepied, un petit tabouret, un petit escabeau, une petite poubelle de toilettes ou tout autre instrument vous permettant d’avoir les jambes légèrement surélevées. 

    Cette position ne vous rappelle pas une certaine forme de toilettes ? En ce qui me concerne dès qu’on évoque le fait de s’accroupir pour aller aux toilettes, je pense immédiatement aux toilettes “turcs” et ce que je viens d'énoncer un peu plus haut démontre parfaitement que malgré l'inconfort ressenti pour certains, ils sont les meilleurs en terme de position.


  • Exercices Kegel : Il existe différents types d’exercices dis Kegel avec différentes postures selon le degré d’intensité mais le fonctionnement reste le même dans tous les cas. En effet, il s’agit de contracter / décontracter votre périnée afin de renforcer votre périnée qui rappelons le, permet de soutenir la vessie, l’utérus, l’intestin grêle et même le rectum. 

  • Exercices de rééducation périnéale : La encore il existe différents types d’exercices de rééducation périnéale, néanmoins, le fonctionnement reste plus ou moins similaire. En effet, que vous décidiez de travailler avec vos doigts, avec les dilatateurs ou encore avec les boules de geisha, le travail reste semblable. Ce qui va toutefois différer c’est le poids de vos instruments qui vous permettra ainsi de travailler selon le niveau d’intensité de besoin. On insérera donc l’instrument déterminé pour travailler. S’il s’agit des doigts, vous allez pouvoir travailler le massage du périnée et l’élasticité de ce dernier, s’il s’agit des dilatateurs, vous allez pouvoir travailler l’élasticité et la tonicité du périnée. Enfin, s’il s’agit des boules de geisha, vous allez pouvoir travailler de façon plus intense la tonicité de votre périnée. 

  • Consultation au près d’une Sage-Femme ou d’une Kinésithérapeute : Toutefois, avant d’entreprendre une auto-rééducation périnéale, on vous conseillera d’aller consulter une sage-femme ou une kinésithérapeute spécialisée en sexologie dans le but d’effectuer un bilan périnéal indispensable.  

  • COMMENT VENIR À BOUT DE LA CONSTIPATION ? 

    Pour la constipation passagère, on peut en venir à bout en changeant tout simplement nos habitudes de vie. Pour la constipation chronique en revanche, je vous conseillerai d’aller consulter votre médecin qui procédera à différents examens médicaux afin de la traiter au mieux. 


    Votre médecin va d’abord essayer de comprendre d’où peut venir cette constipation en vous posant un certain nombre de questions, ensuite selon vos réponses, il procédera à un examen clinique adapté. Il procédera donc à l’inspection de l’anus, au toucher rectal ou encore au toucher vaginal (pour les personnes ayant un vagin). Il va ainsi rechercher une fissure, des hémorroïdes ou encore une tumeur. Si jamais il n’est pas sûr de ce qu’il aura observé, il pourra vous demander des examens ou analyses complémentaires comme par exemple la recherche de sang dans les selles, la coloscopie, la radiographie de l’abdomen etc… 


    Une fois l’origine de la constipation détectée, votre médecin pourra procéder au traitement adéquat. 


    COMMENT ÉVITER LA CONSTIPATION ? 

    Pour éviter la constipation passagère, il faudra dans un premier temps veiller à s’hydrater correctement et je ne parle pas que de soins à appliquer. En effet, il faudra boire de façon abondante et régulière. Il faudra sans doute modifier vos habitudes alimentaires et privilégier une alimentation riche en fibres, riche en eau ou encore riche en lipides. Il faudra s’imposer une certaine régularité et une certaine routine. Pour respecter cette dernière vous pourrez, par exemple, prendre vos repas à heures fixes, veiller à ce que vos apports soient correctement répartis ou encore ne consommer que du lait écrémé plutôt que du lait entier. 


    Ensuite, toujours dans le but d’éviter la constipation passagère, vous pourrez pratiquer une activité physique comme la marche ou le sport de façon plus générique mais vous pourrez également rééduquer vos réflexes de défécation, en allant à la selle à heures fixes, par exemple. 


    CONSEILS @SECRETSDEGEISHAA

    Pour éviter la constipation, on parlera d’hydratation et de nutrition. On peut donc vous conseiller nos tisanes qui vont vous aider à boire tout au long de la journée. C’est une recommandation qui peut aider les personnes qui sont de grands consommateurs de Thés ou de Tisanes en règle générale mais également toutes les personnes qui vont avoir plus de difficultés à boire ne serait ce que de l’eau.


    Ensuite, on peut vous conseiller d’appliquer une huile de coco. Très bonne pour la vulve, elle est aussi bonne pour l’anus et agit sur la réparation des tissus de votre peau. Ainsi, en appliquant quotidiennement votre huile de coco, même sur les parties les plus intimes de votre corps, vous éviterez tous risques de constipation ou du moins tous risques d’hémorroïdes. 


    Mais on peut également vous conseiller “le Bain Dérivatif”. Le Bain Dérivatif est une technique qui consiste à rafraîchir  les deux plis inguinaux et le périnée dans le but de faire vibrer, rendre motiles les intestins et l’ensemble du fascia.

    On peut le faire avec un gant de toilette et de l’eau mais il peut également être remplacé par l’utilisation de poches 36.6°. En effet, ce qui nous manque le plus est de la fraîcheur au niveau du périnée. Cela fonctionne même pour les personnes en incapacité de pratiquer la marche.

    Cette fraîcheur entraîne la motilité du fascia et de l’intestin  provoquant l’expulsion des selles, mais aussi le déplacement, le cheminement dans tout le corps des graisses issues de la digestion.

    On va donc imbiber un gant de toilette d’eau froide que l’on va ensuite placer entre l’aine et le périnée. On déplace par mouvement de friction, ce gant, de part et d’autre, pendant 10min environ. Il est important d’aller de l’aine vers le périnée et non l’inverse.

    Lorsqu’on pratique ce genre de bienfaits, il est important de se couvrir pour éviter les frissonnements et les chocs thermiques. On préconisera donc le port d’une veste bien chaude ou de se mettre, tout simplement, sous la couette.

    Enfin pour terminer, on vous conseillera l’utilisation des dilatateurs ou encore des boules de geisha pour participer à la rééducation périnéale. 



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    La vulve, ça sent quoi ? | Secrets De Geishaa

    La vulve, ça sent quoi ?

    Les odeurs intimes, voilà un sujet qui trouble bien des femmes, surtout les plus jeunes, celles étant au début de leur vie sexuelle ou n’ayant pas encore eu d’expérience sexuelle.

    Chez l’équipe de #Secretsdegeishaa, nous recevons fréquemment des questions liées à vos craintes, vos peurs et vos doutes sur le sujet : « Est-ce normal d’avoir une odeur au niveau intime », « Comment sentir bon d’en bas », « J’ai peur de le dégouter à cause de l’odeur de ma vulve », « Est-ce la bonne méthode pour se laver correctement les parties intimes ? »

    Nous les comprenons tout à fait et nous sommes justement là pour répondre au mieux à vos inquiétudes et soulager ainsi vos appréhensions.

     

     

     

    Alors, que sent une vulve ?

     

    Cette question bien trop large ne peut pas avoir une réponse précise, puisqu’il n’y a pas d’odeur générale de la vulve. En effet, chaque femme a une odeur qui lui est propre. L’odeur de notre vulve va dépendre de plusieurs facteurs :

    -          Hygiène intime

    -          Alimentation

    -          Hydratation

    -          Santé intime

    -          Eléments qui déséquilibrent la flore intime.

     

     

    Décortiquons tout cela ensemble :

     

    L’hygiène intime

    Obviously, c’est un des facteurs déterminants ! Mais contrairement aux idées reçues, ce n’est pas en passant votre minette au karcher que vous parviendrez à sentir meilleur de la vulve, bien au contraire ! Nous vous en parlions dans un de nos précédents articles, une bonne hygiène intime respectueuse de notre flore vaginale c’est une hygiène sans manque et sans excès. Pour ne pas perturber cet équilibre, il est important d’adopter une bonne routine intime. Notre vulve n’a besoin que d’eau et elle est dotée du meilleur auto-nettoyant. Pour s’assurer d’une bonne hygiène qui ne crée pas de déséquilibres (qui sont souvent à l’origine des mauvaises odeurs), on opte pour un lavage de la région vulvaire uniquement (on bannit les douches vaginales), à l’eau moyennement chaude et claire !

     

    L’alimentation :

    Certains aliments vont avoir tendance à impacter nos sécrétions corporelles, que ce soit l’odeur de notre vulve ou celle de notre sueur en général. On remarquera par exemple que manger des asperges va changer l’odeur de notre urine ou de nos fluides vaginaux qui auront tendance à être plus odorants. De même, les produits tels que les oignons, l’ail, le curry peuvent rendre nos sécrétions plus odorantes. Mais aussi le tabac, le café ou l’excès de sucre peuvent venir altérer notre odeur corporelle. La viande rouge impact elle aussi l’odeur intime puisqu’elle a tendance à venir modifier notre pH.

    A l’inverse, certains fruits sont connus pour donner une odeur corporelle et intime plus agréable (voir même un goût agréable à la vulve), c’est le cas notamment de l’ananas très réputé pour cette particularité ; on entend même qu’il modifierait le goût du sperme (oui, il est également différent d’un homme à l’autre et cela dépend encore une fois de l'alimentation très souvent !). De manière générale, consommer beaucoup de fruits impactera positivement notre odeur corporelle, certaines femmes témoignent par exemple du fait que manger beaucoup de fraises, framboises ou de kiwi laisse à leur peau une odeur assez sucrée et agréable.

     

    L’hydratation :

    S’hydrater au quotidien est un réflexe indispensable pour une bonne hygiène de vie, pour notre santé, et bonne nouvelle : c’est aussi un réflexe qui impacte positivement nos fluides intimes ! En effet, boire beaucoup d’eau va permettre à nos parties intimes de retrouver une odeur et un goût « naturel », une odeur et un goût plus neutre (ce qui peut être bien par exemple si nous avons consommé un aliment qui impacte négativement notre odeur). De plus, bien s’hydrater nous permet d’éviter les infections urinaires ou autres infections, elles-mêmes responsables des mauvaises odeurs.

     

    Notre santé intime :

    Nos odeurs intimes sont révélatrices de notre santé intime. Comme nous venons de le voir, les infections vont altérer notre odeur intime. Le mauvais réflexe serait de tenter de camoufler ou de "laver" notre vulve ( ou pire, notre vagin) avec des produits pas très clean pour tenter de se débarrasser de ces odeurs dérangeantes : non seulement on ne règle pas le souci de fond, mais en plus on l’aggrave parce que d’une part, on ne prend pas le temps de consulter, d’autre part, les produits chimiques à ce niveau peuvent être dangereux, surtout si notre flore subit déjà un déséquilibre.

    Aussi, si on prend l’habitude de camoufler nos odeurs intimes, on ne se rend pas bien compte lorsqu’il peut être nécessaire de se soigner. Le mieux est donc de laisser notre vulve tranquille, d’opter pour une hygiène intime qui lui est respectueuse et de ne pas essayer quotidiennement de camoufler son odeur.

     

    A partir de quel moment je peux me dire que mon odeur intime est inquiétante ?

    Une odeur pouvant nous alarmer est une odeur très prononcée, qui se dégage même sous nos vêtements, ou encore une odeur qui s’accompagne d’autres symptômes tels que : pertes vaginales de couleur jaunâtre, d'un aspect mousseux, trop abondantes, démangeaisons, brûlures… En dehors de tout cela, je n’ai aucune raison de m’inquiéter, ma flore fait son travail !

     

    Les éléments qui déséquilibrent ma flore intime :

    Déjà qu’est qu’une flore vaginale ?

    Alors non, ce n’est pas un joli mot pour représenter notre vagin, ou qui fait écho au mot fleur… La flore est un système composé de germes, un ensemble de bonnes bactéries présentes dans notre vagin qui travaillent pour protéger ce dernier et maintenir un équilibre. C’est cette flore qui est justement auto suffisante et nous permet de n’avoir besoin de rien d’autre pour nettoyer notre vagin, car celle-ci est déjà composée du système le plus adapté pour le protéger et le nettoyer !

     

    Cependant cet équilibre peut être perturbé par certains éléments :

    Le port de vêtements et sous-vêtements serrés, en matière non naturelle, l’utilisation des protèges slips, se nettoyer le vagin (donc à l’intérieur), l’utilisation régulière de parfums ou de produits pour « sentir bon », l’utilisation de certains gels « nettoyants » dits « intimes » mais cependant non adaptés, l’utilisation de savon, une alimentation riche en sucre.

    Il existe en outre des éléments indépendants de notre volonté mais pouvant altérer notre flore vaginale, ce sont les périodes clés où des bouleversements hormonaux se produisent : notamment pendant les règles, la grossesse et à la ménopause.

     

    "Mais moi j’ai peur de dégoûter mon partenaire…"

    Nous connaissons et nous entendons cette problématique récurrente chez #Secretsdegeishaa. En effet, beaucoup d’entres vous témoignent de cette crainte et cette peur de "dégoûter" leur partenaire à cause de l’odeur ou encore des fluides intimes.

    Dans un premier temps, sachez que c’est avant tout la faute au manque d’information plutôt que votre faute à vous ! Votre odeur est ce qu’il y a de plus normal et naturel ! Pour réduire ces angoisses, la solution c’est de s’éduquer, s’instruire déjà soi-même sur son corps afin d’arrêter de diaboliser et pouvoir enfin normaliser tout ce qui s’y trouve. Ensuite il s’agit d’informer son conjoint, lui faire lire des articles, et petit à petit se détacher des tabous et surtout des préjugés autour de ces sujets, que ce soit l’odeur intime ou tout autre sujet lié au corps.

    Aussi, avez-vous remarqué que l’odeur féminine est nettement plus diabolisée que l’odeur masculine ? La pression est nettement moins grande chez les hommes (pour ne pas dire quasi inexistante). Il n’y a presque aucun produit faisant la promotion de l’hygiène masculine ou de l’odeur intime des hommes. Est-ce que les hommes auraient moins besoin que les femmes d’une hygiène intime ou de « sentir bon d’en bas » ? Assez contradictoire quand nous savons maintenant que la femme est dotée d’un système d’auto-nettoyage dans son vagin. Nous souhaitons mettre l’accent là-dessus afin de vous faire comprendre qu’il ne s’agit ni plus ni moins que d’une diabolisation de la société, qu’il ne s’agit en aucun cas de quelque chose de normal que d’être autant accaparées par les odeurs et les fluides intimes féminins.

     

    "J’ai envie de me faire plaisir et de le surprendre par une touche subtilement parfumée"

    Rien ne vous empêche occasionnellement, lors d’une soirée coquine par exemple, pour ajouter une touche surprenante à votre mise en beauté, d’utiliser un de nos produits adaptés, permettant d’embellir votre odeur intime.

    Pour cela nous vous proposons (toujours utiliser loin des muqueuses pour une utilisation la plus Safe possible) :

    -          Le Parfum intime solide : à utiliser pour madame ou pour monsieur, ce produit est adapté à votre intimité, composé d’huile de coco, il hydratera également vos parties intimes.

    -          La Brume Intime : une brume idéale pour les occasions coquines, elle a été conçue pour s’adapter à notre intimité, testée sous contrôle médical.

    -          Le musc : disponible en plusieurs saveurs gourmandes ou fleuries, le musc apportera une odeur fraîche, envoûtante et durable à votre intimité. Nous reviendrons sur son usage très vite dans un article. 

     

    Tant que l’usage de ces produits se fait dans le respect de votre flore, à savoir de manière occasionnelle et loin des muqueuses,  vous pouvez, si vous en avez envie, utiliser ces produits qui ont été spécialement conçus pour votre intimité.

    Dans l’équipe de #SecretsdeGeishaa nous utilisons aussi ces produits et nous en sommes ravies ! Le tout est de bien comprendre que ces produits ont pour but d’embellir par occasion l’odeur de notre petite fleur et non de camoufler son odeur naturelle ou celles qui peuvent paraître dérangeantes (Et qui peuvent s’avérer révélatrices de problématiques gynécologiques on le rappelle).

     

    Pour conclure :

    Chaque vulve est unique par sa forme, par son odeur, par son aspect et tout cela est normal. L’odeur ainsi que l’aspect de nos fluides intimes sont des messages d’information de notre corps. Il est important de s’instruire, s’informer pour ainsi déconstruire ses croyances limitantes et s’épanouir dans son corps et son intimité.

     

     

    @sens.u.elles pour secretsdegeishaa.com

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    Les Poils | Secrets De Geishaa

    Les Poils

    « Les poils c’est degueulasse »
    « Ce n’est pas féminin, on dirait un singe »
    « Ça donne un air sale, en plus ce n’est pas hygiénique »

     

    Est-ce que tu sais que l’ennemi que tu redoutes tant n’est pas sur ton corps uniquement pour te causer du tort ?

     

    J’entends tellement de femmes se plaindre de leurs poils, celles voulant s’en débarrasser définitivement, celles qui pensent que ce n’est pas hygiénique... Et comment pouvons-nous nous présenter de la sorte devant notre conjoint? Comment pouvons-nous oser !? 

     

    Ne t’inquiète pas, tu n’es pas la seule, on a toute diabolisé ces horribles poils, mais ils ne sont finalement rien de plus naturel et ils sont là pour nous protéger, rien de plus.

     

    Mais ça n’est pas finalement tant de notre faute. Cette société nous a conditionnées à faire des poils notre pire ennemi ! En effet, les poils n'ont pas toujours été mal perçus. Petit tour dans l'histoire du poil et dans l'injonction à la beauté sans poils :

    Au tout début de l'histoire de l'humanité, l'épilation n'était pas une pratique réservée aux femmes. En effet, hommes et femmes s'épilaient aux temps de l'Egypte Antique. L'épilation était une pratique ritualisée qui représentait à l'époque hygiène et pureté pour tous et toutes. 

    C'est à la Renaissance que l'on peut retrouver une culture de l'épilation non lointaine de celle que nous connaissons aujourd'hui : Le poil est un signe de virilité, il est associé à l'image masculine, la moustache et la barbe gagnent en popularité. En opposition de l'image nette et lisse de la féminité, qui s'apparente à une peau et un visage sans poils et un teint de porcelaine.

    Ce modèle se calque sur une réalité concernant la nature du poil sur l'homme et la femme. En effet, dans une vision globale et dans l'imaginaire populaire, les hommes seraient par nature plus poilus que les femmes. Cette réalité a été, et demeure aujourd'hui portée à son paroxysme, puisque pour plusieurs facteurs (environnementaux, médicaux, hormonaux ou génétiques), certaines femmes peuvent avoir plus de poils que certains hommes et inversement !

    Un peu plus proche de notre époque, au XIXe siècle, l'épilation est une pratique ciblée, elle ne concernent que les femmes qui possèdent une profession qui implique une forme de nudité (comme les danseuses, les prostituées ou encore les actrices). Elles seront les principales, voir uniques consommatrices des moyens d'épilation commercialisés, les autres femmes ne s'en sentant pas concernées. 

    C'est 100 ans plus tôt que naissent les premières publicités dans les magazines féminins qui imposeront cette injonction à la beauté du corps sans poils. Nous rentrons dans cette période de la culture de l’hygiénisme, qui s’empare de l’image du poil perçu comme sale.  

    Dans les années 60, les féministes manifestent contre cette injonction et oppression sociale, ( une artiste a manifesté dans la rue en se montrant nue avec ses poils pubiens et aux aisselles). Elles catégorisent l’épilation comme étant finalement une nouvelle « corvée » après le ménage et tout le reste de l’entretient qu’elles font déjà.

    Aujourd'hui avec l'essor des médias en tout genre, tout nous laisse à croire qu'une femme est un être imberbe par nature. Que ce soit au cinéma, à la publicité, chez les mannequins sur Instagram, ou même dans les publicités sur l'épilation, aucun poil n'est apparent ! Cela nous fait culpabiliser indirectement puisque l’imposition en masse de corps parfaitement imberbes crée chez les consommateurs de ces médias une norme inconsciemment assimilée.

     

    D'ailleurs, certaines stratégies marketing n’hésitent pas à utiliser directement ce sentiment de culpabilisation pour faire vendre.

    Il n’y a qu’à voir certains produits qui nous vendent des solutions pour rendre les aisselles « plus belles » (Qui a pensé que ses aisselles avaient la fonction de devoir plaire ? En y ayant jamais pensé, après avoir vu une publicité de ce type, tu auras peut-être tendance à te poser la question !),  

    En dehors des médias de masse, il y a sans aucun doute l’entourage qui joue un rôle dans cette stigmatisation et cette injonction au poil « sale », (et si ce n’était pas ton cas, tu as bien de la chance)… Dès les premiers poils apparents, on a fait passer le message à la petite fille que tu étais explicitement (Il va falloir t’épiler pour être « propre », pour ne pas ressembler à un homme) ou implicitement (aucun poil apparent sous les jupes, les robes, les shorts des femmes dans la rue et bien évidemment dans tous les écrans…) que le poil est tout simplement honteux ! 

    Aujourd’hui, il y a un mouvement féministe assez similaire à celui des années 60 qui se développe depuis quelques années maintenant. Il consiste en des revendications sous forme de Hashtag pour prôner l’amour de soi au naturel avec ses poils et sans honte pour contrer les pressions et injonctions ! Les  #bodyhairpositivity, #hairylegsdontcare #bodyhair #bodyhairmovement, font parler d’eux pour montrer la réalité de la pilosité féminine et a poussé bien des femmes à s’assumer avec leurs poils.

    Alors oui, nous avons le droit de ne pas aimer apercevoir ces poils sur nous, d’aimer nous sentir sans poils, et nous avons le droit aussi de vouloir les laisser pousser sans craindre les regards extérieurs. Cependant, il est encore difficile aujourd’hui de se sentir libre de ne pas s’épiler car ces injonctions sont bien ancrées. Oui, personne ne viendra t’épiler de force si tu sors dehors poils apparents, mais tu risques peut-être de te sentir gênée, dévisagée et pire te prendre certaines remarques… et ça ce n’est pas normal.

     

    Pour ce qui est de mon avis personnel sur la question :

    Je trouve que c’est génial de pouvoir changer rien qu’en s’épilant. D’avoir une sensation de « plus de douceur », cet avant / après à tout pour plaire, il nous permet de nous sentir bien différente par quelque chose de simple... Qui n’aime pas cette sensation de peau sans poils après avoir laisser ses jambes tranquilles un bon moment ? Une sensation très proche du « renouveau » se fait ressentir n’est-ce pas ?

     Mais le problème intervient dans cette volonté à faire croire que nous devrions être impeccables, parfaites, sans poils, sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre…

    Nous ne devrions plus ressentir de pression sur un détail aussi naturel que les poils, cet élément fait partie de notre nature humaine et non de la nature exclusivement masculine.

     

    Mais sais-tu que tu as de bonnes raisons de t’accepter, en plus de l’argument biologique ? En effet, les poils sont loin de nous nuire, en témoigne leur raison d’être :

    Les poils sur le corps en général (jambes, bras) protègent de la chaleur, régulent la température corporelle et ils protègent du froid. Ils protègent aussi des rayons UV. (Nos cheveux nous protègent de la même façon).

    Les poils des aisselles vont retenir la sueur pour éviter que celle-ci « dégouline ».

    Au niveau des zones génitales, les poils protègent des mauvaises bactéries et préservent l'équilibre de ta flore ! (Raison pour laquelle tu as dû remarquer que tu es souvent plus sujette aux cystites, mycoses et autres infections après une épilation intégrale de ton pubis et ta vulve.)

     

    Pour conclure,

    Les poils ont tout à fait leur place sur notre corps, alors il est important de les assumer, notamment en période de repousse car pour retirer un poil il faut bien que celui-ci pousse. N’aies donc plus honte d’avoir des poils même devant ton partenaire, cela ne va pas l’empêcher de te trouver désirable, ce n’est qu’un détail qui se règle une fois par mois !

     

    LES CONSEILS @SECRETSDEGEISHAA

     

    Si tes poils te complexent réellement et que tu ne supportes vraiment pas les repousses entre deux passages à la cire, tu peux mettre un joli legging à la maison, ou encore de longues chaussettes durant l’hiver. Un joli bas de pyjama long et moulant pourra t’aider à te sentir moins gênée durant cette période.

     

    Enfin les deux alliés sexy pour cette période :

    Le bodystocking, il te permettra de passer un moment coquin sans te préoccuper de la repousse…

    C’est également le cas des bas qui nous font nous sentir sexy en toutes circonstances !

     

    Rédigé par @sens.u.elles pour @Secretsdegeishaa

     

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    Prendre soin de sa vulve | Secrets De Geishaa

    Prendre soin de sa vulve

    Parce qu'hydrater ou nourrir votre vulve est aussi important que d’appliquer une crème de jour sur votre visage… En effet, cela permet protéger votre flore vaginale, de lutter contre les irritations ou d’apaiser votre zone périnéale.

    La pilule contraceptive faiblement dosée en œstrogènes, la baisse hormonale après la grossesse ou à l'approche de la ménopause, la prise de médicaments (antidépresseurs, antihistaminiques, antihypertenseurs...), l’arrêt des rapports pendant une longue période, le stress, le tabac… sont de nombreux facteurs qui diminuent l'hydratation naturelle du vagin. Par conséquent un déficit en œstrogène entraîne un amincissement de la muqueuse, une modification du pH et donc une fragilisation du vagin. Votre vagin est donc sec mais cela n’a rien avoir avec votre manque de désir à l’égard de votre partenaire, cela est une réaction locale, uniquement.

    Parfois même, il arrive que la zone vaginale soit irritée et que ces irritations soient causées par le frottement des sous-vêtements synthétiques ou des vêtements trop moulants, par les vas et viens des dilatateurs ou du pénis en lui-même, ou simplement par le flux sanguin, légèrement acide, des menstruations. Il arrive aussi que ces irritations soient causées par des épilations ou encore par les protections hygiéniques.

    Vous l’aurez compris, bichonner votre vagin comme la prunelle de vos yeux n’est donc pas négligeable.

    Nous allons donc aborder :

    • La Méditation / La Prière
    • La Visualisation
    • La Respiration

     

    • La Nutrition
    • L’Hydratation
    • La Lubrification

     

    • La Réeducation périnéale
    • Le Lâcher prise

     

    Pour commencer, la méditation / la prière, la visualisation et la respiration sont des techniques qui peuvent vous permettre de vous recentrer sur l’essentiel et donc de réduire considérablement le stress.

    Ensuite, la nutrition, l’hydratation ou la lubrification qui sont trois points distincts, peuvent vous aider au niveau du confort ressenti au quotidien mais également au niveau du confort ressenti lors des rapports sexuels. En effet, la nutrition va apporter à votre vulve et votre vagin tout le gras dont il est nécessaire afin de se protéger contre les agressions extérieurs comme la pollution ou le frottement des sous-vêtements. L’hydratation va apporter à votre vulve et à votre vagin ce dont il est nécessaire pour que les tissus de la muqueuse soient maintenus en bonne santé. Et enfin la lubrification va apporter à votre vulve et surtout votre vagin tout le confort nécessaire pour le bon déroulement de la pénétration vaginale.

    Pour l’hydratation je vous conseille donc l’utilisation du gel hydratant liberté, pour la nutrition je vous conseille l’utilisation du baume à base de beurre de karité et d’huile de coco ou l’huile coco & karité et pour la lubrification je vous conseille d’utiliser le mixgliss lub à base d’eau.

    Enfin, la rééducation périnéale, comme indiqué dans notre article sur le Vaginisme, a pour but de faire comprendre à notre cerveau que pénétration ne rime pas forcément avec dangerosité grâce à l’utilisation de dilatateurs par exemple. En effet, les dilatateurs sont des « Sex Toys » médicalisés, de différentes tailles, qui interviennent dans la rééducation périnéale.

    Mais il est également possible de travailler sur le lâcher prise. En effet, Pour une personne touchée par le vaginisme ou la dyspareunie, les jeux érotiques, en complément d’un accompagnement, peuvent avoir un impact direct sur le lâcher prise car non seulement ils vont nous aider à nous découvrir, à savoir ce que l’on aime ou non, ce que l’on veut ou pas mais également à se concentrer sur les règles du jeu plutôt que de se concentrer sur la pénétration qui peut être si effrayante.

     

    CONSEIL @SECRETSDEGEISHAA

    Créez-vous votre Routine Intime !

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    Les protections hygiéniques | Secrets De Geishaa

    Les protections hygiéniques

    Nous allons tout d’abord retracer l’histoire des protections hygiéniques, faire connaissances avec nos premiers moyens de protections. Puis, nous parlerons de ces méthodes de protection plus respectueuses de notre corps et de l’environnement.

     

    Retour en arrière sur l’histoire de nos protections hygiéniques.

     

    De tout temps, la femme a ses règles. Mais à travers les époques celles-ci étaient perçues de façons différentes, dans un univers culturel qui, tantôt renforçait les tabous, et tantôt les réduisait. Fût une époque où, dans certaines cultures, les femmes laissaient leur sang menstruel couler sous des robes amples, et ne portaient ni protections, ni sous-vêtements. Elles laissaient le sang couler sur leurs jambes, puis elles allaient se laver.
     
    Dans d’autres cultures, les femmes utilisaient des bouts de leurs habits pour absorber leur sang menstruel.
    Dans les sociétés paysannes de Suède, le sang sur les vêtements ne provoquait pas de gêne, cela était considéré comme totalement naturel, c’était d’ailleurs même quelque chose de valorisant car c'était un signe de fertilité pour la femme !
     
    Dans certaines civilisations comme en Egypte ou dans l’Empire romain, on utilisait des dispositifs semblables à nos tampons. Ceux-ci étaient faits à base de papyrus, d’herbes ou de laine…
     
    Les premières protections portées en occident se nommaient les « ceintures sanitaires ». Elles ressemblaient à une sorte de culotte maintenue par un bandeau noué autour de la taille et au niveau de là où devait se produire l’écoulement sanguin. Il y avait une couche de tissu rembourré. Ce dispositif était lavable et il est apparu dans les années 1800.
     
    C’est à la fin des années 1800, aux Etats-Unis, que sont apparues les protections jetables. Mais ces moyens de protections étaient à cette époque encore très peu accessibles au grand public pour des raisons financières et pour des raisons de tabou culturel. En effet, les femmes n’osaient pas aller en magasin pour acheter des produits qui pourraient de près ou de loin avoir un lien avec leurs parties intimes. Même les publicités à ce sujet étaient interdites.
     
    Le moyen de protection le plus utilisé en occident actuellement est le tampon. Pourtant celui-ci n’était réservé qu’aux femmes mariées avant les années 1930 ! On pensait en effet qu’il pouvait ôter la virginité des jeunes filles ou même leur procurer du plaisir sexuel…
     
    Pendant la seconde guerre, la femme va peu à peu s’émanciper au niveau de son corps et son intimité. Mais très vite, dans les années 1950 elle reprendra l’image de femme « au foyer », et les tabous autour de son corps et son intimité reviennent de plus belle. A cette période, les médias de masse l’incitent à rester chez elle et il lui est fortement déconseillé de parler de son intimité ou de ses règles, qui ne doivent surtout pas être une excuse pour ne pas s’occuper de son foyer !
     
    Par la suite réapparaissent petit à petit les serviettes lavables sans ceinture sanitaire, les tampons sont démocratisés, et les serviettes adhésives voient le jour.
     
    Notre toute première protection telle que nous la connaissons avec sa bande adhésive au dos qui permet de s’adapter à nos sous-vêtements n’est apparue que dans les années 1960 ! Mais c’est en 1970 qu’on lance la première protection adaptée au corps de la femme, car avant elles étaient trop épaisses et inconfortables.
     
     

    Et aujourd'hui ?

    Aujourd’hui, nous pouvons observer une évolution. Nous sommes loin des tabous dans lesquels la femme a été plongée fût une époque. Ce phénomène apparaît de plus en plus naturel et de moins en moins honteux, bien qu’il y ait encore beaucoup de progrès à faire aux niveau des mentalités, que ce soit dans les médias publics, ou encore dans l'espace privé, où nous passons nos règles sous silence, en les cachant et en en ayant honte, encore aujourd’hui…
     
     

    La minute info menstruelle :

    Quelques femmes ont fait le buzz sur le web en 2019 en militant pour mettre fin aux tabous autour des règles.
     
    Une coach en sexologie a décidé de couvrir son visage de son sang menstruel pour mettre fin "à la stigmatisation qui l’entoure".
    Elle a déclaré: « Notre société nous apprend que les règles sont sales et gênantes. Les publicités sur les produits d’hygiène menstruelle parlent d’odeurs « rafraîchissantes » ou qui nous rendraient plus propres, ce qui implique que les fonctions naturelles de notre corps sont choquantes. »
    Elle a ajouté: « Partager des images de sang sur mon visage et mon corps n’était qu’une impulsion – j’étais en train de créer une série pour aider les femmes à communiquer au sujet de leur cycle menstruel, et j’ai pensé que ce serait amusant. Nous pouvons aussi faire de la peinture avec ou le verser dans la terre. Je crois que c’est une belle chose d’être à l’aise avec toucher son propre sang.  »
     
    Une autre jeune femme a décidé de relayer un message autour des règles et des protections hygiénique en choisissant de ne pas porter de protections hygiéniques toute une journée de menstrues, et de relayer ses photos sur les réseaux. Son objectif était de provoquer le débat pour faire réagir les gens et secouer les consciences concernant le budget alloué aux protections hygiéniques.
     
     
    Concernant les protections, les scandales de la découverte des produits toxiques contenus dans nos serviettes et tampons ont fait monter en masse le développement des protections hygiéniques, ou de composants, beaucoup plus respectueux de notre corps et de l’environnement !
     
     

    🌸 Des solutions plus respectueuses de notre corps et notre environnement : 

    •💎 La serviette hygiénique lavable :

    Il en existe pour différents flux : moyen, léger, abondant ou pour les retours de couches... Elles sont fabriquées à base de coton biologique. Elles sont utilisables en moyenne pendant 3 ans.
     

    •💎 La Cup menstruelle :

    Les Cups s’adaptent à chaque femme, à chaque abondance de flux et à chaque anatomie, puisqu'elles existent dans différentes tailles !
    Plus la taille est petite, plus elle conviendra aux jeunes filles disons « débutantes », ou aux femmes n’ayant pas un flux abondant.
    A l’inverse, plus elles sont grandes, plus elles s’adaptent aux femmes ayant déjà eu des enfants par voie basse, ou aux femmes aux règles plus abondantes.
    Pour l’utiliser, elle se plie et elle doit être insérée dans le vagin. Pas simple tout de même : il faut bien veiller à ce qu’elle soit bien insérée pour contenir le sang, sans fuite ! Elle doit être pour cela convenablement déployée à l’intérieur.
    Pour la nettoyer, il suffit de la rincer et de la sécher avec un papier absorbant à usage unique.
    Pour la stériliser, on la plonge 2 à 10 minutes (en fonction des préconisations de la marque de la cup) dans de l'eau bouillante.
    Elle doit être changée à peu près tous les 5 ans.
     

    •💎 Les tampons à base de coton biologique,

    Plus respectueux de notre corps (limitent les effets toxiques des composants habituels des tampons) et respectueux de notre environnement puisqu'ils sont biodégradables !
     

    •💎 Les culottes menstruelles.

    Les culottes menstruelles, ou encore appelées culottes de règles, sont des culottes qui sont en apparence tout ce qu'il y a de plus ordinaire. A un détail près, puisque la face hygiénique est composée d'une couche permettant d'absorber le flux des règles. Les culottes menstruelles existent également sous différentes formes selon le type de flux (léger, moyen ou abondant) et, évidemment, il existe plusieurs tailles de culottes.
    Le vrai + de ces culottes est qu'il en existe plusieurs modèles. Quand on aime la jolie lingerie, on a la possibilité de continuer à se faire plaisir durant nos règles, puisque le design de ces culottes est très féminin. Certaines comportent des détails comme de jolies motifs, de la dentelle, un peu de transparence sur les côtés ou encore certaines sont taille haute, donc très glamours ! Et par dessus tout, la couche absorbante est discrète. On a la garantie de ne pas avoir l'aspect "serviette qui dépasse" et de se sentir vraiment à l'aise.
    Elle peut durer de 2 à 7 ans. Sa durée de vie dépend de la fréquence de ses lavages et de la marque de la culotte.
     
    Chez #Secretsdegeishaa nous vous proposons des culottes menstruelles de la marque SoCup.
     

    •💎 L'éponge menstruelle

    Elle a à peu près le même principe que le tampon. Il s’agit le plus souvent d’une éponge de mer. Cette protection doit avant utilisation être stérilisée, mais elle est lavable, naturel et réutilisable…
    On peut y ajouter un petit fil pour faciliter le retrait, comme avec un tampon.
    Elle peut être utilisée de 6 à 12 mois. Le souci de ce dispositif est qu’il n’est pas facilement trouvable, pas facilement utilisable et pas facilement lavable.
     

    Rédigé par @sens.u.elles pour secretsdegeishaa.com

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